C'est le passé Qui fera leur avenir

5 mars 1902 : Ce jour là, même si je ne m’en rappelle pas, restera tout l’un des plus important pour moi. Et pour cause ! C’est le jour où je suis née, moi Amalia Victoria De Roy, fille d’Elizabeth Anabella et Frederik Sigismond De Roy. L’une des plus grande famille aristocrate de Prusse, voyez vous. J’ai en plus (petite information inutile) une grande sœur de 2 ans mon année, et répondant au nom de Louise Allya De Roy. Après ma naissance, ma Mère eue très peur en voyant mes yeux. Que voulez vous, des yeux violine ce n’est pas très normal. Cependant aucun des médecins qu’elle fit venir ne purent me trouver une maladie ou une quelconque explication, et ma famille finir par accepter ce fait. Il eurent pourtant un nouveau choque, lorsque mes cheveux commençant à pousser, ils découvrirent avec effroi que ceux-ci était (et sont toujours) blanc neige. Mais tous ceux qui me voyaient me trouver ab-so-lu-ment A-do-ra-ble (j’ais toujours eu cet effet là sur les autres, même sans le moindre effort), et dirent même à mes parents que cette blancheur était la preuve de ma pureté. Cela les réconforta rapidement, et ils finirent par m’exposer au maximum.

L’enfance : Mon enfance … comment la décrire. En réalité c’était tellement ennuyant que j’en aie oublié la plus grande partie. Mais bon … c’est simple, très simple même. On m’a appris à être la petite fille aristocrate que je devais être. Marcher d’une certaine façon, bouger d’une certaine façon, parler d’une certaine façon … et ceux pour être le plus agréable possible pour les autres. Bah oui, mes parents continuer de m’exposer, moi et mes bizarreries physiques. Alors forcement je devait rester des heures sans bouger parfois, à supporter les grandes personnes qui me tripoter, me poser des questions sans intérêts. Et ceux en faisant semblant d’en être ravie, sourire, parler avec un ton enjoué, etc … Oh et puis apprendre à jouer d’instrument de musique (piano entre autre), et les cours avec des précepteurs rien que pour moi. Tout cela est Très intéressant (ceci est de l’ironie pour les im… les gens qui n’ont pas compris). Bref à cette époque j’aie appris à obéir mais c’est aussi durant cette période que mes idées sombres (machiavélique marche aussi). Je commençai à prendre un malin plaisir à créer des problèmes à mes précepteurs, ou aux servants du manoir. J’appris aussi à ne pas me faire prendre, à continuer de paraître être la petite fille sage et parfaite que l’on voulait que je sois.

L’adolescence : Cette période là, je m’en souvient déjà mieux ! Normal cela ne date pas de longtemps pour moi. Ainsi j’ai continué mon double jeu, mais je devenais plus vicieuse. En effet, l’on m’avait mis dans une grande école pour aristocrate, et l’une des jeunes filles que je côtoyais là-bas à, par accident, renverser son verre d’eau sur moi. Rien de grave direz vous, c’est aussi ce que je lui aie dit avec un doux sourire aimable, qui rassura la jeune fille. Cependant, après cela je me suis rapproché d’elle, jusqu’à devenir sa meilleur amie, puis avec quelque phrase et petites actions je l’ais emmener à causer la faillite de sa famille, ainsi qu’a la déshonoré. Ce ne fut pas tant par vengeance que pour tuer l’ennuie de ma vie à ce moment là. C’est aussi à cette époque que je découvrir mon pouvoir pour la première fois. De rage, j’ai transformé mon ombre en une dague acéré. Cela aurais aussi bien put ne causé aucune problème, si mes Parents et ma sœur ne l’avaient pas vu. Imaginé un peu l’horreur qu’a put leur provoquer la vision de la benjamine, une dague dans la main et aucune ombre au sol. Mère et Grande Sœur en tombèrent et s’évanouir, Père m’envoya dans ma chambre. J’y suis restait longtemps, très longtemps. Lorsque j’en sortie, aucun mot sur cet incident ne fut prononcé, et un accord muet fut conclu. Mais personne n’oublia pour autant. Et la haine commença, sans que je m’en rende compte.

La guerre : Au tout début de la guerre, nombre de problème apparurent. Mais je vivait encore dans une bulle loin de tout cela. Malheureusement cela de dura pas. Je n’ais jamais compris comment et en fait je m’en fiche totalement mais d’une façon ou d’une autre ma famille fut ruinée. Pire, nous fument traînés dans la boue. Ainsi, perdu, sans le sou et la haine au cœur, ils y vurent un bon prétexte pour se débarrasser de moi, après tout mes parents avaient encore ma sœur, même sans moi. Je fut vendu, à qui je ne sais pas, puisque je réussi à m’enfuir, et la encore je ne sais pas comment. A vrai dire, je n’ai presque plus de souvenir de tout cela, et je n’ai pas cherché à savoir. Le seul fait que compte fut que je me retrouva chez un garçon, plus ou moins des rues. Il fut mon tout premier ami et je vécu avec lui après qu’Il m’ai recueilli. Cette période de a vie fut celle ou je fut pour la première fois heureuse. Mon tempérament s’apaisa quelque peu, et je m’ingéniais plus pour nous rendre la vie plus facile, que pour pourrir celle des autres. Cependant, en 1918, Il mourut, emportait par cette guerre stupide, et je me retrouva seule.

La Dernière année avant le Départ : que dire … j’ai vécu sans vraiment vivre. Utilisant mon pouvoir pour m’en sortir. Avec la fin de la guerre, je put me trouver un petit boulot, tellement insignifiant que je ne me souvient même pas de ce que je faisait. Puis je fut virée, trop de bizarrerie dit le patron. Alors je parti me baladais. Je n’aurait jamais pensée tombée dans un labyrinthe. Ni finir sur une porte gardait par deux homme étrange.



La seule chose qui me passa par l’esprit fut : « rien ne me retient ici … ». Et sans me laissait le temps de réfléchir, je passa cette porte, quite à ne pas en revenir.

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Et c'est quoi, ton p'tit nom ? Samantha T'es sortis d'ton oeuf quand, au juste ? 14 mars 1995 Mais au fait, t'es une fille ou un mec ? Hum … une fille ? Mais comment t'as atterri dans ce trou, en fait ? ? On vient à la chaîne (Mercure/Elizabeth/Nerran > Corvus > Vito > moi) mais c'est grâce à Dodo, enfin Corvus.^^ Aaah, ouais. Et le règlement, tu l'as lu, j'espère ? Evidement Alors c'est quoi, le code ? [Nath-the-magnifique est passé par là~ !] Et ton dernier mot, mon chou ? Hum …